Equine Guelph, un organisme sans but lucratif, qui offre de la formation; qui fait de la recherche; et qui fait la promotion des soins de santé et des derniers développements du secteur éoconomique équin, a fait l’annonce de sa toute première séance sur la biosécurité : “Beat the Bugs”.
En effet, depuis la plus récente éclosion des cas d’herpèsvirus équin de type 1 (EHV-1, equine herpervirus-1 [en anglais seulement]), les besoins en mesures de biosécurité n’ont jamais été aussi évidents. Cette situation a également mis au jour de nombreuses lacunes dans les connaissances et dans l’applications de mesures dans l’ensemble du secteur, selon le Dr Scott Weese, vétérinaire et diplômé de l’American College of Veterinary Internal Medicine (ACVIM). Le Dr Weese est également professeur associé au département de pathobiologie et titulaire de la chaire de recherche canadienne au Collège de médecine vétérinaire de l’Ontario de l’Université de Guelph.
Le programme Beat the Bugs [en anglais seulement] se veut une occasion d’apprentissage pour les propriétaires qui souhaitent rehausser leurs connaissances. La séance virtuelle, d’une durée de deux semaines, sera offerte du 16 au 29 avril au coût de 75 $ par personne. Les participants intéressés devront communiquer avec Susan Raymond d’Equine Guelph à l’adresse slraymon@uoguelph.ca.
Rappelons que l’herpèsvirus équin de type 1 est un virus qui provoque des infections respiratoires, pouvant entraîner le développement de pneumonies et causer le décès de l’animal. Certaines souches peuvent entraîner le développent d’une enchéphalite pouvant causer l’ataxie, la paralysie, voire le décès encore de l’animal. Le virus se montre redoutable dans les élevages, entraînant un taux de fausses couches pouvant aller jusqu’à 70 pour cent chez les poulinières infectées. Les fausses couches ont habituellement lieu dans les quatre derniers mois de gestion, et environ deux à quatre semaines après que la poulinière est contractée le virus.
Visitez le site du programme Beat the Bugs au www.EquineGuelph.ca/biosecurity.php [en anglais seulement] pour obtenir davantage de renseignements ainsi que pour accéder à toute leur gamme d’outils fort intéressants. Le tout, en anglais seulement, mais dont voici un aperçu :
Calculatrice des risques à la biosécurité
Encore une fois, n’hésitez pas à communiquer avec moi si vous avez besoin d’aide linguistique! 🙂Equine Guelph, un organisme sans but lucratif, qui offre de la formation; qui fait de la recherche; et qui fait la promotion des soins de santé et des derniers développements du secteur éoconomique équin, a fait l’annonce de sa toute première séance sur la biosécurité : “Beat the Bugs”.
En effet, depuis la plus récente éclosion des cas d’herpèsvirus équin de type 1 (EHV-1, equine herpervirus-1 [en anglais seulement]), les besoins en mesures de biosécurité n’ont jamais été aussi évidents. Cette situation a également mis au jour de nombreuses lacunes dans les connaissances et dans l’applications de mesures dans l’ensemble du secteur, selon le Dr Scott Weese, vétérinaire et diplômé de l’American College of Veterinary Internal Medicine (ACVIM). Le Dr Weese est également professeur associé au département de pathobiologie et titulaire de la chaire de recherche canadienne au Collège de médecine vétérinaire de l’Ontario de l’Université de Guelph.
Le programme Beat the Bugs [en anglais seulement] se veut une occasion d’apprentissage pour les propriétaires qui souhaitent rehausser leurs connaissances. La séance virtuelle, d’une durée de deux semaines, sera offerte du 16 au 29 avril au coût de 75 $ par personne. Les participants intéressés devront communiquer avec Susan Raymond d’Equine Guelph à l’adresse slraymon@uoguelph.ca.
Rappelons que l’herpèsvirus équin de type 1 est un virus qui provoque des infections respiratoires, pouvant entraîner le développement de pneumonies et causer le décès de l’animal. Certaines souches peuvent entraîner le développent d’une enchéphalite pouvant causer l’ataxie, la paralysie, voire le décès encore de l’animal. Le virus se montre redoutable dans les élevages, entraînant un taux de fausses couches pouvant aller jusqu’à 70 pour cent chez les poulinières infectées. Les fausses couches ont habituellement lieu dans les quatre derniers mois de gestion, et environ deux à quatre semaines après que la poulinière est contractée le virus.
Visitez le site du programme Beat the Bugs au www.EquineGuelph.ca/biosecurity.php [en anglais seulement] pour obtenir davantage de renseignements ainsi que pour accéder à toute leur gamme d’outils fort intéressants. Le tout, en anglais seulement, mais dont voici un aperçu :
Calculatrice des risques à la biosécurité
Encore une fois, n’hésitez pas à communiquer avec moi si vous avez besoin d’aide linguistique! 🙂