Today, happy day.
In a few hours, I’ll off on yet another fantastic trail ride with… Ok. Time for a confession.
My chronicles of the re-rider are based on my return in the saddle… on my daughter’s pony. Chocolatine.
She’s a brave thing; all 11 hands of her plumpy-plushiness. 🙂 She goes through anything, soldiers on carrying a petite-me. Good girl.
My neighbour rides my gelding, a 15.0 ½ (maybe) hands high pinto gelding. Fat thing too.
I think it’s pretty ironic for a Warmblood breeder to ride an 11-hand pony in her free time.
The truth is, none of the Warmbloods are ready to ride. They are just too young. Plus the pony brings back memories.
Being a re-rider is all about re-building confidence for me. I grew older, more mature, smarter in some ways, but also more worried about everything. I have two young children, and I’d like to be there to see them graduate.
When we’re younger, we do stupid things, we have no fears and ignore danger.
Yeah. Well. Now I notice every darn potential danger. It’s gotten to the point where it was paralyzing.
I had to find a way to get over this over-consciousness. Ta-da! Enter: Pony.
I am not worried in the least on Chocolatine; if I fall off, it’s not too far to reach the ground. She’s patient. I ride bareback, so that clears any idiotic fear that I might get dragged with a foot stuck in the stirrup. Of course, I ride with a helmet. And I keep my cell phone well charged in my pocket.
Oh, and how could I forget, I don’t ride alone. 😉
So far so good, last week was one of the best rides in my life and I have ridden a great piaffe, jumped impressive cross-country obstacles and a 4’ fence… But the sun was bright, the snow was blindingly white and the wind blew all worries away.
Je partirai faire une autre randonnée fantastique dans quelques heures avec… Bon. Je crois qu’il est temps de vous faire un aveu.
Mes chroniques sont fondées sur mon retour en selle… sur le dos de la ponette de ma fille. Chocolatine.
Elle est super brave.Onze mains de rondeurs et de poils soyeux. 🙂 Elle passe partout; poursuit sa marche bravement et transportant ma petite personne partout. Bonne cocotte.
Ma voisine monte mon hongre, un pinto de 15 mains et demie (peut-être…). Obèse aussi.
Je trouve ça plutôt ironique d’élever des demi-sangs et de monter une ponette de 11 mains dans mes temps libre.
Quoiqu’en réalité, aucun des demi-sangs n’est prêt à monter de toute façon. Ils sont trop jeunes. En plus, la ponette me rappelle de bons souvenirs.
Mon retour en selle est un combat pour récupérer tout ma confiance. J’ai vieilli, je suis devenue plus mature, et plus futée d’une certaine façon, mais également beaucoup plus inquiétée par tout. J’ai deux jeunes enfants et j’aimerais être encore là quand ils recevront leurs diplômes d’études.
Plus jeunes, nous faisons toutes sortes de bêtises; nous n’avons aucunes craintes et ignorons le danger.
Oui. Bon. Maintenant, je remarque tout maudit danger potentiel. Ça en est devenu complètement paralysant.
Je devais trouver un moyen de passer outre cet excès d’attention à toutes choses du danger. Ta-da! Solution? Ponette.
Je n’ai aucune crainte quand je monte Chocolatine; si je tombe, le sol n’est pas très loin. Elle est patiente. Je monte à cru, ce qui rège toute crainte un brin absurde de me faire traîner au grand galop le pied toujours coincé dans l’étrier… Bien sûr, je monte toujours avec ma bombe. Et je garde mon téléphone cellulaire bien chargé dans ma poche.
Ah oui, et comment pourrais-je l’oublier, je ne monte pas seule. 😉
Tout va pour le mieux jusqu’à maintenant, j’ai eu une de mes plus belles expériences en selle la semaine dernière et j’en ai eu des bonnes : j’ai déjà senti ce qu’était un bon piaffer, j’ai santé des obstacles dignes d’un bon parcours de cross et j’ai sauté des obstacles de 4 pieds de haut… Mais la semaine dernière, le soleil scintillait; la neige était éclatante de blancheur et le vent… Le vent balayait toute inquiétude.
